La psychologie positive est une discipline relativement récente, que l’on peut définir comme « la réflexion scientifique sur le fonctionnement humain optimal ». Elle vise à identifier les facteurs qui favorisent l’épanouissement personnel. Cette démarche est novatrice en psychologie, dans la mesure où elle met l’accent sur les éléments qui soutiennent une bonne santé mentale, plutôt que sur l’étude exclusive des troubles psychologiques. Elle constitue ainsi une approche complémentaire aux modèles médicaux centrés sur les pathologies psychiques.
Les techniques et pratiques mobilisées par la psychologie positive s’appuient sur les traits de caractère, les valeurs, les forces individuelles, les émotions (positives comme négatives), la motivation, l’engagement ainsi que la pleine conscience. Elle s’intéresse aussi aux relations humaines et aux moyens de les rendre plus saines et épanouissantes. Par exemple, elle propose des méthodes concrètes pour favoriser des relations positives avec les enfants et les adolescents.
Par ailleurs, la psychologie positive intervient dans le développement des organisations, telles que les écoles ou les entreprises, en travaillant sur des leviers comme le sens du travail, l’utilité perçue, la qualité des relations, la bienveillance, le sentiment d’efficacité personnelle, l’état de flow ou encore la motivation.
Elle étudie donc les expériences de vie porteuses de sens et de satisfaction, dans le but de comprendre comment développer le bien-être et le potentiel des individus. Par exemple, il est essentiel de réduire les facteurs de stress pour améliorer la qualité de vie au travail. Toutefois, cela ne permet pas de déterminer ce qui est réellement important dans le travail, ni de définir les aspirations professionnelles. La psychologie positive permet justement d’explorer ces dimensions.
Contrairement à une idée reçue, la psychologie positive ne s’intéresse pas uniquement aux aspects positifs et actuels de la vie. Elle prend en compte les aspects complémentaires de l’expérience humaine : les émotions positives et négatives, les expériences passées et présentes, les résistances comme les compétences. Ainsi, l’anamnèse et l’introspection restent des éléments importants dans une démarche de psychothérapie positive, même s’ils ne constituent pas un objectif en soi. En effet, si les expériences passées ne peuvent être modifiées, le développement des compétences, la connaissance de ses valeurs et de ses forces ouvrent la voie à un fonctionnement psychologique plus harmonieux et orienté vers le futur que l’on souhaite construire.
Les techniques et pratiques mobilisées par la psychologie positive s’appuient sur les traits de caractère, les valeurs, les forces individuelles, les émotions (positives comme négatives), la motivation, l’engagement ainsi que la pleine conscience. Elle s’intéresse aussi aux relations humaines et aux moyens de les rendre plus saines et épanouissantes. Par exemple, elle propose des méthodes concrètes pour favoriser des relations positives avec les enfants et les adolescents.
Par ailleurs, la psychologie positive intervient dans le développement des organisations, telles que les écoles ou les entreprises, en travaillant sur des leviers comme le sens du travail, l’utilité perçue, la qualité des relations, la bienveillance, le sentiment d’efficacité personnelle, l’état de flow ou encore la motivation.
Elle étudie donc les expériences de vie porteuses de sens et de satisfaction, dans le but de comprendre comment développer le bien-être et le potentiel des individus. Par exemple, il est essentiel de réduire les facteurs de stress pour améliorer la qualité de vie au travail. Toutefois, cela ne permet pas de déterminer ce qui est réellement important dans le travail, ni de définir les aspirations professionnelles. La psychologie positive permet justement d’explorer ces dimensions.
Contrairement à une idée reçue, la psychologie positive ne s’intéresse pas uniquement aux aspects positifs et actuels de la vie. Elle prend en compte les aspects complémentaires de l’expérience humaine : les émotions positives et négatives, les expériences passées et présentes, les résistances comme les compétences. Ainsi, l’anamnèse et l’introspection restent des éléments importants dans une démarche de psychothérapie positive, même s’ils ne constituent pas un objectif en soi. En effet, si les expériences passées ne peuvent être modifiées, le développement des compétences, la connaissance de ses valeurs et de ses forces ouvrent la voie à un fonctionnement psychologique plus harmonieux et orienté vers le futur que l’on souhaite construire.
Cet article a été écrit le 01/05/2018
Vous trouverez les références bibliographiques en suivant ce lien.
Les informations fournies ici ne remplacent en aucun cas la relation entre un patient et son médecin ou son psychologue, et ne doivent pas être utilisées comme substitut à un accompagnement thérapeutique.
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